16 mars 2008, 16 mars 2009. Un an déjà !
Après 19 ans d’opposition, la Gauche se voit à nouveau confier la gestion de la commune par les Cosnoises et les Cosnois.
12 mois passionnants !
Des réussites bien sûr. Déjà plus de 20 engagements tenus sur 120 … pas mal ? Un nouveau souffle démocratique, des citoyens mieux considérés. C’est important. J’avais été frappé en arrivant à Cosne du peu de lieux de débat et d’échanges. Des comités de quartier mis en place en quelques mois, des réunions de concertation sur chaque dossier importants, voilà la bonne méthode. Des élus tous différents et qui cumulent des compétences très complémentaires. Ainsi le bel exemple de la reprise en main des finances communales qui partaient à vau l’eau, avec un emprunt Dexia à haute risque. Essentiel. Des élus sur le terrain, bien plus proches de leurs concitoyens. Ainsi de l’écoute et du soutien aux salariés en difficulté. Indispensable.
Des difficultés aussi ! Une reprise de dossiers laissés à l’abandon et dont il faut s’occuper en urgence, comme ce pôle de santé dont la partie privée, la clinique du Nohain, est sauvée in extremis. 108 emplois sauvés, la maternité, la chirurgie, le scanner sauvegardés. Ce n’est pas rien dans une ville de 12 000 habitants et un bassin de santé de 70 000 patients potentiels … Sans parler de ce parti politique qui se présente sur la liste de gauche, en signe le programme municipal, et qui dès les premiers jours de mandat se retourne contre son propre camp … Où est le respect des électeurs dans tout cela ?
Dans quelques jours, le premier budget voté par cette nouvelle majorité. Les maîtres mots seront à n’en pas douter la vérité et la rigueur, bref, le sérieux. A l’image d’un Maire, Alain Dherbier, qui connait sa commune comme sa poche et qui manifeste jour après jour droiture, sang froid et compétence. Sérieux ce budget le sera sans nul doute, mais aussi volontaire afin de soutenir l’activité, de préparer et de construire l’avenir d’un territoire qui possède un potentiel et des atouts évidents. Un territoire qui surmontera la crise dès lors que toutes ses forces sauront s’unir.
Pas de doute, nous avons de quoi travailler les cinq prochaines années ... Le souci de l’intérêt général et de la justice sociale chevillés au corps !
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