Je délaisse ce blog depuis trop longtemps, pris par d'autres travaux de plumes, moins visibles ceux-là, mais tout aussi passionnnants et enrichissants.
C'est donc un un coup de pub inesperé qu'est venu m'apporter samedi dernier un élu nivernais de grande ampleur en citant dans les colonnes du Journal du Centre des propos que j'avais tenus ici l'an passé.
L'engagement politique est une expérience humaine formidable. Elle n'immunise néanmoins pas contre la médiocrité. La démonstration est faite trop souvent à mon gout.
J'ai, de mon côté, le courage (diront certains), l'imprudence (prétendront d'autres) de dire ma part de vérité. Quoi qu'il puisse m'en coûter.
La question des conséquences est d'ailleurs mineure. Je me suis engagé au service d'un idéal, le socialisme, de valeurs, humanistes. Faire carrière m'est étranger. Cela fait la différence. De mon point de vue.
Bref, l'élu en question, en réagissant, montre qu'il sait lire et écrire. C'est déjà ça. Il lui reste à acquérir le sens du second degré. Ca tombe bien, l'heure du repos a bientôt sonné pour lui. Il va avoir du temps devant lui. Avec un peu de recul, il relira à meilleur escient mon article de 2011, et appréciera mieux l'illustration de celui-ci...
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